Ne me demandez pas pourquoi j'ai choisi cette image. Je l'adore, c'est tout.
Du nouveau, encore du nouveau, toujours du nouveau : quelques petits morceaux d'actualité que vous avez peut-être ratés.
Bon, commençons par la mauvaise nouvelle du mois : Om Mani a annoncé son split, après le départ de leur batteur pour l'étranger. Ledit batteur est également le batteur d'Hacride, qui n'a pas annoncé ce genre de mauvaises nouvelles : on espère donc qu'Hacride va trouver un nouveau batteur et nous envoyer dans la tronche un album qui soit aussi bon que le spectaculaire "Lazarus".
R.I.P.
Bon, du plus joyeux, maintenant. Les Hollandais fous de Dope D.O.D ont sorti "The Evil E.P.", quatre titres qui nous rendent encore plus impatients que l'album sorte. Grande surprise : les deux premiers singles de l'album, "What Happened" et "Psychosis", n'y figurent pas, au profit de compositions à l'équilibre hip-hop/dubstep tout aussi maîtrisé et révélant clairement des influences old-school qui ne laissent pas indifférent. Un régal.
Attention, aimer peut avoir des effets secondaires de type émétique. ("Butterflies".)
The Schoenberg Automaton a sorti son premier clip, qui illustre la track la plus frénétique et mathcore du premier EP : "Where Are We, In A Cube ?". Je vous laisse juger par vous-mêmes, mais pour un clip visiblement tourné "avec les moyens du bord" (et pour 100 dollars), ça a une certaine classe.
Devin Townsend (à qui est dédié l'article le plus long de ce site... pour l'instant : d'ici fin juillet, cela aura sans doute changé) nous a offert en même temps "Deconstruction" et "Ghost", le premier rapide et débridé, le second mélodique et incroyablement doux. Après un "Addicted" que je n'avais que très peu apprécié, "Deconstruction" me régale totalement, tandis que "Ghost" m'ennuie au plus haut point. A chacun de se faire son opinion.
"Deconstruction", sur l'album éponyme. Epique !
Le duo français Tha Trickaz sort un nouvel EP le 18 juillet, et les deux titres qui y figureront ont l'air plutôt énormes. Jetez donc une oreille :
Pour finir, je sais que j'ai dit du mal de Dimmu Borgir qui, sur album, ne m'a plus fait vibrer depuis "Death Cult Armageddon" (ça fait quand même huit ans), mais en live, avec orchestre et chœur, c'est quelque chose. Prenez une heure dans votre journée pour regarder ce documentaire : peu de blabla, beaucoup de musique, le pied.
Ah oui, PS : si vous n'avez toujours pas écouté A Backward Glance On A Travel Road, vous êtes impardonnables. Leur premier album est sans doute une des créations artistiques les plus grandioses de ce début de millénaire.
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