Casse Ton Singe a été annoncé/vendu par La Mangouste, qui gérait l'évènement, comme "une soirée festive à grand renfort de groupes noise et pop, fanfares, DJs électro/techno, délires 8 bit, sets breakcore, animations débiles, déguisements, jets de ballons, happenings en tous genres." Etant donné que j'ai remplacé la before par un buvage de coups en bonne et due forme, et que j'étais trop épuisé pour l'after, je ne peux pas juger de l'ambiance à ces deux endroits (respectivement le Pop-In, dans le onzième, et le BKO, dans le vingtième). L'after lui-même peut être considéré comme un happening, puisque le lieu a été gardé au chaud jusqu'à la dernière minute.
Et l'Oscar du meilleur teaser est décerné à...
Grande déception, parce qu'il faut bien commencer par se débarrasser du moins plaisant : Computer Truck, qui assurait à lui tout seul la partie circuit bending de la nuit au Glazart, n'était pas là. Après avoir écouté son album, qui m'a régalé sur les trois premiers quarts et dont j'ai trouvé la fin totalement insupportable, j'avais hâte de le voir sur scène se plonger dans ses joujoux dessoudés et s'adonner avec les plus grandes délices au plaisir de la torture bruitiste de pauvres jouets innocents. Hélas, son nom n'est pas apparu sur la setlist de la nuit, à cause, semblerait-il, "d'incidents de dernière minute" plus proches, à en croire les on-dit, du péché d'arrogance que du pneu crevé sur la route. Mais bon, peut-on vraiment croire les on-dit, dans ce monde où n'importe quelle déclaration devient une vérité à partir du triste moment où suffisamment de personnes l'ont entendue ?
Tu en sais quelque chose, hein, mon gros ?
En revanche, nous avons eu droit au jet de ballons, au grand plaisir de ma peur maladive des ballons de baudruche (ce qui ne m'a pas empêché de m'amuser avec, grâce à une grande consommation d'alcool qui a paradoxalement mis mon émétophobie en veilleuse -- si quelqu'un connait un bon psychothérapeute en Normandie ou région parisienne, qu'il m'envoie les coordonnées au plus vite, merci d'avance), aux masques de singe, qui m'ont fourni cet anonymat précaire propice aux petites bêtises innocentes dans lesquelles j'avais envie de me commettre, et à tous ces petits plaisirs musicaux dont voici un petit résumé de mémoire.
"Ah mon Dieu, noooooooooon !"
(Je suis gentil, je n'illustrerai pas mon autre phobie. En plus, les résultats Google Images me filent la gerbe.)
La fanfare Youri Gargariz ouvre le bal -- elle reviendra plus tard dans la soirée pour interluder dans la joie et la bonne humeur. De la part d'un groupe qui joue depuis six ans et vient de sortir son premier album, je dois avouer que je ne m'attendais, ni à n'entendre que des reprises de chansons populaires (certains ont même gueulé "pooooo polooo po-po-pooooo poooo" sur l'air de "Seven Nation Army" des White Stripes -- j'ai repéré lesquels pour m'assurer de ne jamais leur adresser la parole de ma vie), ni à ce que certains perdent le tempo en cours de route, faisant plonger certains airs dans un marasme péri-cacophonique décevant. D'un autre côté, peut-être que ma haine profonde des fanfares en général m'a rendu particulièrement critique envers celle-ci. Pas mal de gens se sont simplement amusés, sautant dans tous les sens, chantant comme des idiots, tandis que je prenais le temps de discuter avec une jeune fan d'Igorrr (dont je ne dirais pas tout le bien que j'en pense par peur que son mec ne lise ce blog et ne vienne me casser la gueule au Noxious Art Fest). A quelque chose, ennui est bon.
Pouet.
Après cette première demi-heure qui sort de mes amours musicales pourtant larges, les Nigg Dianamonds viennent, à deux derrière leurs petites machines, nous proposer trois quarts d'heure d'un set électro/french touch dansant, teinté rock/variétoche, qui évolue petit à petit vers des basses un peu plus présentes. Une mise en bouche et en jambes de très bon goût, efficace et énergique, bien qu'encore un peu clubbing à mon goût (ce qui ne m'a pas empêché de verser mon premier demi-litre de sueur lors de ce set).
Micro-résumé du set posté par les Nigg eux-mêmes.
Malkhior, qui prend la suite, me fait tout simplement fuir. Mélange électro/rock pas trop mal branlé mais pas non plus extraordinaire, Malkhior se distingue surtout par une attitude hipster/cynique que je trouve tout à fait horripilante. Le MySpace annonce les couleurs, terriblement exagérées : il clame fièrement "Vous êtes des putes", puis dans la bio "Malkhior se permet tous les excès, après tout pourquoi s'emmerder puisque l'Humanité court à sa perte ?" Sur scène, un chanteur/gourou torse nu sous une sorte de veste sans manches léopard et une chanteuse déguisée en bonne sœur cherchent à nous montrer leur signification de "tous les excès" dans une parodie de grandiloquence qui sent le réchauffé et la malhonnêteté m'as-tu-vu. La "nouvelle vague parisienne" a créé un monstre de plus. Vous voulez savoir ce qu'est l'excès, petits Parisiens bouffis d'arrogance ? Vous voulez voir comment on monte un spectacle fort, débridé, provocateur ? Allez voir Bonaparte en concert. Et n'oubliez pas de prendre des notes, ça pourra toujours servir. (Oui, je pousse le bouchon un peu loin. Et ça me fait plaisir. N'oubliez pas, les enfants, que cet avis ne vaut que pour moi.) Et la fanfare qui revient pour l'interlude... Ca va que je suis ivre, tiens !
Oh et puis merde, je préfère encore ça à un clip de Malkhior.
Bon, forcément, je n'ai pas exactement le ton du passionné en parlant de ce début de festivités très inégal, qui ne fait qu'exacerber mon impatience. Parmi les trois artistes pour qui j'ai véritablement fait le déplacement (en ne comptant pas Computer Truck, donc), Cardopusher sera le premier à investir la scène, devant un public qui, soit ne le connaît pas, soit ne sait pas à quoi s'attendre de la part d'un artiste qui a déjà exploré tant de styles musicaux différents. Son set de ce soir est punchy et extrêmement dansant, sorte de mélange contre nature d'électro pleine de basses et de rythmiques aux influences chaudes, tribales parfois, un peu de ragga par-ci, des miettes de zouk par-là... (Non, ce n'est pas une insulte : je rappelle aux lecteurs réguliers que j'ai découvert l'industriel avec "4C2E 492E 532E 41" de 5F_55, dont le rythme principal est clairement zouk.) Il paraît qu'on appelle cela de la "future bass". Hop, une étiquette de plus dans le panier. Plein d'influences mais jouant avec les sonorités lourdes et vibrantes, Cardopusher nous livre un set rare, original, imprévisible, et qui nous envahit d'un besoin irrépressible de bouger. Un seul mot : MONSIEUR.
Ouais, il se débrouille, le garçon.
Entre lui et Igorrr, le groupe La Pince s'installe pour un set bien trop court (une vingtaine de minutes à peine) d'un noise-rock rentre-dedans, aux relents de punk à l'ancienne, de Rage Against The Machine, de grunge et d'ambiances torturées post-hardcore. Petit bémol pour la voix, un peu trop approximative et "oscillante" parfois, qui me fait me dire que le cri serait sans doute un excellent choix musical -- mais cela n'engage que moi. Ce qui est indéniable, en revanche, c'est que le trio dégage une sévère énergie, qui est amplifiée par le fait qu'il s'est installé directement dans la salle, contre un mur mais au milieu du public ; une excellente surprise qui rajoute au cachet de la prestation. Ce pourrait être un plaisir de les voir jouer "un tout petit peu" plus longtemps.
Fuck yeah.
Le set d'Igorrr, qui occupe l'espace sonore de l'heure suivante, ressemble beaucoup à celui qu'il avait balancé, deux semaines plus tôt, au Batofar pour les dix ans d'Ad Noiseam, et il nous le lâche avec toujours la même énergie, la même conviction, les mêmes rictus également -- et un public similaire : des convaincus d'avance qui connaissant tout le répertoire de l'artiste par cœur (et qui auront entendu une track qui n'est sur aucun des trois albums... si elle est prévue pour le quatrième, c'est encore un album qui s'annonce excellent), des agréablement surpris qui ne savent pas trop sur quel pied danser mais que ça n'empêchera pas d'essayer, et des hallucinés/ébahis/confus qui retournent commander une bière. Votre serviteur est bien entendu dans la première catégorie, ainsi que la blonde évoquée plus haut avec qui j'ai pu partager mon amour de la musique industrielle et ma haine des fanfares.
Fuck yeah, épisode 2.
Les trois quarts d'heure d'Alto Clark viennent cueillir un public un peu parsemé, pas mal sur les rotules, et parviendra à le garder en vie à grands coups de techno/8-bit éclectique et bondissante, une grande tranche de plaisir dont je ne profiterai pas à cause de mes "obligations personnelles" : en backstage, Clotaire Premier me paie une Heineken et je lui pose les questions qui me trottent dans la tête depuis un bout de temps. Affaire à suivre... Heureusement que l'interview prend moins de temps que prévu, car après une vingtaine de minutes, il doit s'éclipser pour aller jouer.
Celui que je n'ai pas beaucoup vu. Je ne crois pas qu'il avait ces lunettes.
Clotaire Premier a donc la délicate tâche de clôturer ce bal enragé, devant un public bien moindre qu'une heure ou deux avant ; le soleil est levé, les gens presque tous épuisés, mais une poignée d'irréductibles bassophiles puant la sueur veulent s'achever. Histoire de venir encore l'embêter, son ordinateur portable décide de redémarrer en plein milieu du set, ça t'apprendra à ne pas travailler sur Mac comme tout le monde. Malgré cet incident indépendant de sa volonté, Jeff aka Cloclo The First ne se laisse pas démonter : son set, mélangeant compos et "chansons d'ailleurs", est une déferlante comme on aime, un bon tabassage en règle, mélange breakcore/bleep/brainfuck/wobble du meilleur effet qui parvient à réanimer l'armée de trente ou quarante zombies qui a pris ses aises devant la scène pour mieux participer au rituel de piétinement frénétique du sol du Glazart et de dodelinements épileptiques que constitue ce live-slash-mix virulent mené tambour battant par un Clotaire masqué, félin de comics face à une armée, amochée mais toujours debout, de Singes en rut.
Allez, je la remets, parce que ça fait toujours plaisir.
Le mélange de genres proposé par la soirée était risqué, et d'ailleurs, vous l'aurez compris, j'y ai adoré certaines choses et détesté certaines autres. Ceci étant dit, c'est aussi ce mélange qui a constitué l'originalité de la soirée et la variété de son public. Les noise-addicts se sont tassés à l'avant-scène en fin de nuit tandis que les festoyeurs/clubbers branchouillards ont fui un peu plus tôt, mais tout ce beau monde s'est côtoyé sans anicroche dans une de ces soirées qu'on ne voit pas tous les quatre matins. Aussi, on ne pourra que remercier La Mangouste d'oser proposer ce genre d'évènements, et de miser sur l'ouverture d'esprit des amateurs de musique et/ou des party animals de Paris et ses alentours. Allez, à la prochaines, crustacés croisés primates des nuits parisiennes -- ce sera un plaisir de vous retrouver pour une nouvelle soirée.
Groupes de la soirée (dans l'ordre de passage)
Youri Gargariz : MySpace
Nigg Dianamonds : MySpace
Malkhior : MySpace
Cardopusher : Soundcloud, Facebook
La Pince : Bandcamp
Igorrr : Article MZ, Interview MZ, MySpace
Alto Clark : Site officiel, MySpace
Clotaire 1er : Article MZ, Interview MZ, Page sur La Mangouste (EP "Galactic Yoyoyo" en téléchargement gratuit), Bandcamp
13 commentaires:
Déjà, je tiens à dire que j'admire ta persévérance pour faire un blog sur les différents événements musicaux, en sachant que personne n'en a rien à foutre de te lire au vue du peu de commentaires accumulés sur la globalité de tes articles.
Je pense aussi, en te lisant, j'avoue tu écris bien ou pas^^ (car je ne vais pas lâcher ça à l'aveugle), que tu as une conception bizarre de la musique, qui selon moi a juste pour but de faire bouger les gens, qu'ils passent un bon moment.
Sérieux arrête de te la jouer "crit hic", ça c'est moi, mon domaine (copyright). Occupes toi autrement, car je t'assure qu'en te lisant je me suis tapé une bonne barre, déjà vérifie tes sources sur ce que tu avances, ça serait une bonne chose...
Tu te permets de juger des personnes juste parce qu'ils s'amusent sur de la zik que toi, au grand(e) connaisseur(se) tu n'apprécies pas: je trouve ça relativement moche (hautain?)...
Alors je vais conclure sur une phrase d'un grand poète du 92 (tu rechercheras l'auteur si tu connais pas) : SI T'AIMES PAS, T'ECOUTES PAS ET PUIS C'EST TOUT ;)
Allez peace, je te remercie, tu as égayé ma journée de merde que j'ai passé aujourd'hui ^^
Bla, bla, bla. C'est un peu facile, mon cher Anonyme, de cracher gratuitement, non ? Tu aurais au moins pu laisser un nom, un site, n'importe quoi qui me permette de comparer. Lâche ? Probablement.
Si "vomir sur un inconnu" est pour toi synonyme de "égayer une journée", tu dois vraiment avoir une existence pitoyable.
Remballe tes smileys minables et tes "peace" sottement ironiques, et retourne te masturber sur ton ego au lieu de venir le dégueuler aveuglément ici.
Mon dieu que ça a quelque chose d'ironique ce petit "Anonyme a dit"...
En tout cas, je serais curieuse de voir après cet immensément talentueux commentaire quel genre de "crit hic" ce charmant personnage est capable de pondre. Sur ce, sois pas trop lâche, et balance nous un lien que l'on jette un œil.
Cordialement
Une toukinette enragée.
Sache, Anonyme#1 que l'intérêt porté au travail de quelqu'un, ne se mesure pas au nombre de "kikoo lolz, tro bi1 toN blOg!" mis en commentaire.
Je voudrai aussi savoir au nom de quoi toi seul peut oser porter un jugement sur de la musique? Les autres ne serait il bon qu'a mastiquer bovinement les critiques des "professionnels" sans avoir d'avis?
Pour finir j'oserai plagier ce grand poète du neuf-deux, ne serait-ce que pour montrer le non-sens de ton commentaire: si t'aimes pas tu lies pas et c'est tout! ah ba oui a priori ça s'applique pas qu'à la musique hein, quand on critique le fait de critiquer, faut être sacrément balaise pour être crédible...
En espérant que tes journées de merde soient nombreuses
Avant de m'adresser à Modern Zeuhl, je vais répondre aux 2 autres petits rageux(se) (enfin surtout le 2nd) qui sont venus défendre leur petit copain.
A#2,malheureusement je n'ai aucun lien à partager, j'étais juste à la soirée parmi la masse de gens dont Modern Zeuhl s'est assuré de "ne jamais nous adresser la parole de sa vie".
A#3,je ne suis pas totalement d'accord avec toi. Lorsqu'un blog est bien, les gens venant dessus ont envie d'interagir avec le blogueur, discuter des sujets, ce qui ne semble malheureusement pas être le cas pour modern zeuhl... Ensuite,relis un peu ce que j'ai mis au lieu de t'enflammer, "je pense", "selon moi" (j'expose mon point de vue), ou ai-je fais mention d'une vérité absolue que je détiendrais: nulle part (remballes). Puis, contrairement à la musique qui est quelque chose d'instinctif, durant le moment présent, (tu entends, tu peux sortir dehors si tu n'aimes pas), pour se faire une idée sur un livre, un article de blog, il faut le lire et en entier biensûr: tu comprends la débilité de tes propos ou il faut que je te réexplique??? Enfin, quitte à reprendre mes phrases reprend les bien "et puis c'est tout".
Modern Zeuhl, je te rassure mon existence n'est pas pitoyable, de temps en temps c'est moins marrant mais, je prends du plaisir la plupart du temps (merci de t'en inquiéter). Oui je te critique, je critique la manière dont tu images tes goûts, par exemple sur "Malkhior et le vomi", je critique la manière dont tu tournes tes phrases (quand on te lit, on a l'impression que tu détiens la vérité absolue. Tu as été frustré des fanfares, trop mauvais pour pouvoir faire de la musique parmi "la nouvelle vague parisienne", alors tu sors beaucoup, partout, tu critiques: fat comme vie...). La manière dont j'écris ne te plait pas (les smileys, peace(...): tant mieux ça me fait plaisir, mais j'en ai rien à faire :p).
Pour conclure, tu veux savoir qui je suis: http://affirmation.a.f.pic.centerblog.net/i9edxyiz.jpg tu comprends pourquoi j'ai un gros égo au vue de mes capacités ;)
Bon sur ce, vous m'avez tous fait bien rire, plus vous continuerez à répondre, plus je rigolerai: me ferez vous ce plaisir? J'espère. Puis avec un peu de chance, tu auras l'article record avec le plus de commentaires de ton blog et ça aussi j' en serais fier.
Fierté de pacotille.
Désolé d'être totalement subjectif, ça s'appelle "écrire une critique". Désolé que ça ne te plaise pas, mais vu le pied que tu prends a vouloir rabaisser quiconque lit ce blog, je pense qu'au final ça te plait pas mal. Et dommage que tu n'aies pas précisé directement ce qui t'avait énervé dans ma chronique (j'étais en train de me demander si tu n'étais pas un musicien de Youri Gargariz... pas loin), ça m'aurait épargné de te répondre.
Ami troll, le prétentieux (voire méprisant) rédacteur de Modern Zeuhl te salue de haut.
Peace.
Mathias
PS : le record de commentaires, c'est déja fait... Grace a un autre mec qui ne supporte pas qu'on n'ait pas le même avis que lui, d'ailleurs. Ca doit être mon mépris qui énerve. Va savoir.
je suis un musicien des youri et je comprend ta critique,perso j'aime pas trop lady gaga, et elle va pas m'insulter si je la critique.
Mais il faut remettre les choses dans l'ordre et ça fait bientôt 10 ans qu'on existe et pas 6, mais il y a 3 ans tout nos anciens sont partis et on s'est retrouvé à 7 pour continuer la fanfare donc clairement on est repartis de zéro.
On va bientôt sortir notre 2ème cd et on vient pas de sortir notre premier cd, d'ailleurs sur les 20/25 personnes qui ont participé au premier il n'en reste plus qu'un.
je ne sais pas ce que musique populaire représente pour toi mais emmenez-moi, besame mucho,toxic, chat noir chat blanc, tetris, gangsta paradise ne sont pas des musiques "populaires" pour moi.
Je veux bien que tu parles du seven nation army mais je trouve ça vraiment réducteur comme "musique populaire", on le joue évidemment parce que tout le monde va chanter.
Je te prie d'excuser la personne avant moi qui t'a "insulté".
Je ne laisse pas d'adresse parce que comme tu connais la notre mais que tu n'aime pas les fanfares ça sert à rien.
Désolé pour les fautes d'orthographes mais ce soir c'est pas facile
Aucun problème pour les (rares) fautes de ton commentaire. Concernant ladite personne, ce n'est pas ta faute, donc tant pis :)
Le fait que je n'aime pas les fanfares et que je n'aime pas les gens qui font "pooop polop pop pop poooop" sur Seven Nation Army a bien entendu ajouté a ma mauvaise foi quand il a fallu que je parle de vous. Je suis ravi que tu fasses partie des gens qui prennent les "critiques" pour ce qu'elles sont : rien de très important !
Merci pour les informations, en tout cas !
Mon cher Modern Zeuhl, pourquoi prends-tu du temps à critiquer une "musique" que tu n'aimes pas ? D'autres nous ont juste dit : "ce n'est pas de la musique, c'est du bruit". Or le bruit ne se critique pas, ce viel alcoolique de la rue saint michel était sans doute plus pertinent que toi, et moins futile.
Objectivement, tu nous a vexé, et je ne comprends ni l'intérêt ni le plaisir que tu as pu en retirer. Tu n'as donc pas de copain avec qui faire des choses aussi décevantes? Tu verrais que c'est bien plus réjouissant, à moins que quelqu'un ne t'en jalouse.
Ecoute, malgré ta rage, je t'invite à venir boire un verre un soir avec nous après la répét, un lundi ou jeudi à Montrouge, on s'excusera mutuellement, des oreilles qu'on t'a cassé, de ta prose qui nous a blessé, car après tout il vaut mieux avoir tord à plusieurs que raison tout seul...
Nathan, l' "ancien" des youris.
Vous vous êtes tous donné le mot pour passer ce week-end, alors que la review est ici depuis trois mois ? o_O'
Je n'ai aucune "rage" ou quoi que ce soit d'autre. J'aime me tripoter la verve, et je le fais. Parfois, c'est pour critiquer certaines choses...
Ce que vous faites n'est pas du bruit mais de la musique, donc ça se critique aisément, en fonction des goûts, en fonction des sensibilités (ça, c'est la partie qui n'a pas a vous vexer), et aussi sur l'aspect technique (et la, je confirme : il y a eu quelques passages où vous n'étiez pas tous ensemble, et c'était dommage).
Je n'ai pas d'intérêt ou de plaisir a critiquer, je ne voulais juste pas être malhonnête, et comme les gens qui passent lire mes chros sont censés ne pas les prendre comme parole d'évangile, je me permets. C'est tout.
Si je passe sur Paris un jour de semaine (pas gagné, mais on ne sait jamais), pourquoi pas ?
++
Mathias
les gens, ils veulent qu'on parle d'eux, mais que en bien. Bah faut pas s'exposer ou ne pas lire ce qui a pu être dit de ce qu'on a pu exhiber.
Parfaitement. Tiens, d'ailleurs, pendant qu'on en parle, ta musique, c'est trop de la merde. J'osais pas te le dire.
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